Economie

    L’économie de l’Institut est restée très traditionnelle, et est du type méditerranéen. Le pays est entièrement autarcique, et basé principalement sur l’agriculture.
La monnaie est la Livre Verlorine (£√). Le conseil d’administration a choisi ce nom pour se moquer des érudits toujours plongés dans leurs livres.

    Les secteurs principaux de l’agriculture verlorine est, en premier lieu, la culture de l’olivier : son fruit peut-être manger, et son huile peut-être utiliser dans la cuisine ou l’hygiène. Son bois est de plus très utilisée pour la meublerie.
    Vient ensuite la pêche : la Truite Rose à Nageoires Glissantes (Salmo adipocis), espèce endémique de la Baie du Locqdu, est très grasse, s’attrape facilement, n’a que très peu de prédateurs et possède l’un des cycles de reproduction les plus rapides des poissons. Sa grande quantité en fait donc un poisson nourrissant et très commun.
La culture du blé, à moins grande échelle, est également présente sur l’île, ainsi que celle de l’arbousier, de la vigne et de nombreux arbres fruitiers, qui assurent une assez grande diversité culinaire pour une île de cette taille.
    La chasse du moineaux, dans un style plus ludique, est également présent sur l’île.
    Le système de l’agriculture verlorine permet cependant une assez grande production : tous les agriculteurs ne possèdent pas leurs fermes : elles sont propriétés de l’Etat. Ils travaillent dans chaque secteur et font des roulements tous les quinze jours : pêche, puis oléiculture, puis arbres fruitiers et vigne. Ces roulements permettent aux paysans d’avoir une diversité de tâches et qu’ils ne s’ennuient pas. Cependant, l’efficacité de ce système ne fut jamais réellement prouvée.

    L’agriculture ne fut pas seulement le seul domaine d’activité : l’extraction de calcaire pour construire les maisons fut pendant longtemps un secteur demandeur d’emploi. Maintenant que la population stagne, on a pas besoin de calcaire : l’unique carrière minuscule est à présent abandonnée.

    Cependant, l’économie risque peut-être d’augmenter : notre enseignement de qualité dans quasiment toutes les matières possibles nous amènera peut-être de nouveaux étudiants.

    Il existe également un autre secteur économique verlorin : l’aéronautique. La Compagnie Postale de Montgolfières (composée de montgolfières traditionnelles auxquelles ont a rajouté une hélice permettant de la diriger) assure en effet quotidiennement le courrier de Verlor’Eninl-Och à l’Institut. Cependant, avec une vitesse moyenne d’environ 50 km/h. Elles sont également utilisées pour l’étude atmosphérique et cartographique.
    L’énorme avantage de ces montgolfières sont qu’elles peuvent se poser n’importe où : pas besoin de pistes d’atterrissages. Les zones pentues ne sont pas un problème. Et sa grande capacité d’emport en fait l’engin idéal pour le transport de vivres, de médicaments ou tout autre objet utile dans les endroits isolés du globe inaccessibles pas avion.  

    Il est bon toutefois de noter une particularité économique : ce ne sont pas les verlorins qui travaillent directement. En effet, la science avancée de l'Institut dans les recherches horlogères lui permirent la construction de complexes automates, qui assurent les tâches ardues à la place des hommes, que ce soient dans les exploitations agricoles (moisonneuses batteuses autonomes et cueillers à engrenages) ou dans l'industrie (la tour d'Eau-de-Narde, siège de la plus grande industrie du pays, est entièrement automatisée, et n'accueille que trois travailleurs : le directeur de la firme, l'ingénieur chargé de vérifier la mécanique, et le concierge).

Tiré des archives du Conseil d'Administration, tapuscrit par le Pr. Szadeczki, bibliothécaire de l'Institut.

Monnaie


    La monnaie de l’Institut de Verlor est la Livre Verlorine (£√).
    Selon la définition officielle, dictée par le premier Archiduc du Locqdu : « cent lyvres verlorynes éfqvyfavt à la qyantyté de faleur qy’il fayt foyrnir à un acqvadémyfyen poyr qy’il arrefte inceffament fouf pey de fe playndre » . Cela équivaut très exactement à un verre de narde (alcool régional) accompagné de trois tartines de miel et cinq huitième. 
  Les coffres de l’Institut contiennent actuellement 1107648 £√, et l’Institut n’a de dettes envers personne. C’est un état qui vit principalement en autarcie. 

Billets : 

Billet de 1 £√ - billet de 3 £√  - billet de 9 £√  -  billet de 27 £√ - billet de 81 £√  - billet de 243 £√  - billet de 729 £√ - billet de 2187 £√ - billet de 6561 £√ - billet de 19683 £√ - billet de 59049 £√.   

Les deux faces ont les mêmes représentations. 

 

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